Troisième court volet des tumultueuses pérégrinations de Jean-Luc et Michel ses comparses, préquelle historique fidèle de la série « Les Charlots font du rugby », dont les épisodes se déroulent tous les mercredis soirs, hors confinement.
« …Continuant sa quête et fort de son nouveau compagnon, Jean-Luc arriva au bord du monde… Tout du moins au bord du monde connu, c’est-à-dire aux environs du marais saumâtre coincé entre Lacanau et Biscarosse que certains nouveaux riches embourgeoisés appellent le Bassin d’Arcachon…
Tout abandonné à la contemplation de l’immensité marine, un souffle monumental arracha notre héros à ses pensées les plus profondes (qui sont grosso modo: » Qu’est-ce que je vais faire pour accompagner mes Knackis à midi ? « ). S’extrayant des profondeurs et de l’horreur des Abysses, un somptueux navire doré de forme ovoïde
vint éblouir les rétines turquoise du « Tiger King » de Saint-Médard.
Dressé face au vent sur la proue du somptueux vaisseau, se tenait le capitaine de celui-ci. Fier comme un numéro 10, torse nu bombé, transpirant, short corail, sabre au poing et à la virilité ultra-testoteronée de Georges Mickael ou Freddy Mercury.
J-L fasciné, en resta bouche bée (ce qui n’est pas si courant, vous en conviendrez…).
Mais cette idolâtrie naissante fut vite interrompue par un formidable et innommable rugissement. Jaillissant des flots, dépliant un à un chacun de ses ignobles tentacules de 2e ligne (non sans les avoir échauffés : il a 50 piges la bête…), instruments immondes de son anthropophage appétit. Emprisonné aux Temps Anciens par des dieux Pré-mésopotamiens (je crois que Jean-claude était au procès…), le Fils de l’Indicible et de la CFE-CGC fut arraché à la boue par l’appel cosmique de l’Oeuf Amiral magnifique. L’horreur abyssale se jeta avec fracas sur l’ovale d’or que Barbe-nue ne voulait pas lui prêter car il joue 10 lui…
J-L n’écoutant que son courage, et résolu à ne pas laisser 2 blaireaux à l’égo bouffi d’orgueil détruire ce magnifique objet en forme d’œuf, intervint au moment où Cap’taine Coraya plaquait aux épaules la Beste Ignoble qui était encore entrain de râler…
« Gloire à vous Magnificients et flamboyants combattants ! Cessez vos vaines querelles et joignez ma quête qui, si je ne peux vous dire où elle nous mènera, sera couronnée de succès, je le sais ! Et pour preuve de ma bonne volonté, je m’engage à porter des caleçons flashy comme ton short Captain’ et j’arborerai ta magnifique coiffure, la Bête : lisse dessus et herbeux sur les côtés !« .
Sur ce magnifique laïus, les belligérants s’embrassèrent puis se rangèrent derrière leur nouveau guide et ses apôtres, et suivirent son pas, odorant mais assuré, sur les voies triomphantes d’une épopée légendaire… ».
Une réflexion au sujet de « La légende de La Saga des Chroniques de la Quête de l’Arruan… Chapitre 3 »
Bon les mecs faut lui faire passer un scanner à Léon c’est pas le protége dents qu’il lui fallait mais un casque pour son voyage en poubelle bises Ben😁