Bon, je sais bien que personne n’a trop envie de s’y coller mais par souci d’honnêteté journalistique et pour ne pas être accusé de choisir nos compte-rendus de matchs, je vais essayer de pondre deux trois mots sur le match contre les Affranchis…
La bonne nouvelle sur ce match c’est qu’on a pu s’apercevoir que l’on était un bon paquet… On n’a pas un gros effectif mais on arrive à se mobiliser même à l’extérieur. Ca ferait presque équipe de rugby (après, si tu t’attardes trop longtemps sur les éléments qui composent la dite-équipe, ça fait surtout gros troupeau de crétins, mais passons…).
Un bon début de match arruanais, 20 minutes où ça bataille. C’est assez équilibré, même si on passe un peu plus de temps chez les Affranchis. On finit par avoir la main sur le ballon un bon moment et après une première percée, le jeu rebondit deux fois et Bedaine Barrett (merci Oliv’!!!) finit par aplatir, après un numéro de jonglage avec la beuchigue, dans l’en-but…
Et c’est là que le problème électrique est survenu… Les spécialistes d’EDF n’ont toujours pas trouvé les causes du dysfonctionnement mais le disjoncteur arruanais a sauté… 10 minutes dans le noir jusqu’à la mi-temps, où les Arruanais cherchaient le ballon, leurs partenaires, les adversaires, un sens à leurs vies… Bref, une parenthèse obscure inexplicable dans laquelle toute l’équipe s’est perdue : » y’a quelqu’un ??? yououuuuh… Jean-Luc ??? Zog ???? Marmotte, donne moi ta main… C’EST PAS TA MAIN !!!!! »…
Au retour des lumières, on avait pris trois pions en dix minutes, et la mi-temps était sifflée à trois un…
La seconde mi-temps allait, elle, se solder par un 2-2, mi-temps durant laquelle le vent se mit à souffler fort durant les touches (fin de notre razzia de première mi-temps) et les décisions de Wayne Barnes sont tombées drues et selon les mauvaises langues, toujours du même coté. Très peu de ballon pour les Arruanais, difficile de gagner en défendant la majeure partie du temps. Nous fumes pour le moins assez efficace avec peu de ballons puisque Super-Asmath’ a, à nouveau, marqué en bonifiant un 2 contre 4 après avoir lourdement quémandé la balle auprès de son cher 10 ; et Théo a marqué son premier essai sous nos couleurs en bout de ligne avec une course tout en éthylisme qui l’a vu manqué de se casser la gueule deux fois avant de franchir la ligne…
Du bon, du moins bien, mais surtout un gros trou noir que nous aurons, bien évidement, à cœur de ne pas reproduire ce mercredi pour la réception des Nounours Boys au Millenium…
Une réflexion au sujet de « Black out… »
Et Didou… il y était ?